Les Aventures de Flo & Maxime ROMAN

Catégories : Cuckold candaulistes cocu FANTASME Homme soumis, Femdom Domination féminine Femmes soumises sexuelles
il y a 8 ans
L'île de Sombrera se trouve au Nord de l'arc Antillais, à quelques encablures des Iles Vierges américaines.

En fait d'île, Sombrera est plutôt un îlot rocailleux, à peine 3 kilomètres de long. Bien qu'étant sous la tutelle du Royaume d'Angleterre, cet endroit est entièrement une propriété privée, appartenant à la richissime Madame Monika Hodge, femme de feu Monsieur Loulou Hodge, célèbre dans le monde de l'édition à grand tirage.

D'origine française, et connue à l'époque par les services de police sous le nom de jeune fille de Giselle Durieux, Monika Hodge est de ces femmes chanceuses et intelligentes qui ont su un jour sauter sur une (bonne et vieille) occasion qui devait la faire passer du statut de call-girl à celui de respectable épouse de millionnaire américain.

Depuis la m o r t de son cher mari, elle s'était retirée définitivement sur cette île perdue, laissant croire à qui voulait l'entendre que l'endroit lui paraissait idéal pour une retraite mystique qui la rapprocherait inévitablement, par de pieuses méditations, de la grande vérité universelle et céleste. On ne lui connaît pas d'amis, et pourtant, chaque semaine, une vingtaine de personnes viennent lui rendre visite. Son âge est imprécis, sans doute aux alentours de 45 ans. Grande, fine, le port de tête hautain et majestueux, les cheveux noirs toujours tirés en arrière, cette femme dégage une sensualité étrange qui irradie sur son entourage tel un dompteur sur sa ménagerie.

Affalée dans un confortable fauteuil au milieu de son appartement juché sur la plus haute colline de l'île, elle savoure un moment de tranquillité avant de recevoir, comme chaque samedi après-midi, son nouvel arrivage d'invités. A travers les vitres panoramiques elle contemple, une fois encore, son royaume de quelques kilomètres carrés sur lequel elle règne en chef suprême et incontesté. Samir, véritable eunuque découvert dans les bas quartiers de Delhi, est à genoux entre ses cuisses, tout appliqué à conserver son grade de Premier lécheur.

Sa langue, longue et fine, merveilleusement musclée par de nombreuses heures d'entraînement, s'active dans les replis tendres et sensibles de sa Maîtresse. Il connaît cette vulve par cœur, et pour n'avoir pu la découvrir que par son appendice buccal, il a appris à ressentir les moindres réactions, les plus infimes modifications de goût ou de tension musculaire pour lui procurer un plaisir savant, long et diffus. Monika aime se corps d'homme mutilé dans son intimité.

Ce sexe absent, remplacé par une longue cicatrice interrompue par un ridicule orifice urinaire, cette peau parfaitement glabre jusque sur la tête, font penser à un monstre échappé de la Cour des Miracles. Cette présence continuelle à ses côtés depuis plus de cinq ans sied si bien à sa personnalité qu'ils forment un ensemble cohérent dont on ne s'étonne plus après quelques minutes. Monika s'enfonce encore un peu plus dans le fauteuil profond.

Elle veut profiter pleinement de ces dernières minutes de repos. Félicie, sa soubrette, se tient derrière elle. Ses mains habiles, reliées entre elles par des bracelets, sont passées sous le déshabillé de Monika et viennent effleurer et masser doucement ses seins. A sa droite, à quatre pattes, se trouve un de ses esclaves, dont elle ignore d'ailleurs le numéro, et encore plus le nom. Sur son dos se trouve un verre de Mint-julep posé à côté de l'inséparable cravache sur un lourd plateau d'argent. Gare à ses fesses s'il venait à tomber.

Ses chevilles et ses poignets sont entravés par des liens en cuir et, comme chaque esclave, sa tête est enfermée dans une cagoule équipée de fermetures éclairs au niveau des yeux et de la bouche. Il est nu, son sexe et ses couilles pendent entre ces cuisses. D'un geste lent, Monika étire son bras et vient placer sa main à l'extrémité de sa bite. La réaction est immédiate, et aussitôt qu'il sent la main fraîche de sa Maîtresse palper sa chair, il commence à bander. Circoncis, le gland gonfle rapidement. Sa couleur vire au rouge vif. A tâtons, les doigts de Monika repèrent les lieux.

Ses ongles longs et effilés viennent s'enfoncer sans ménagement dans le muscle fragile, le griffent et le malmènent sans réserve. L'esclave voudrait gémir doucement. La douleur lui vrille le ventre tout en lui envoyant de subtiles ondes de plaisir. Mais il sait qu'il doit rester impassible. Il sait qu'il n'est que le jouet servile de sa Maîtresse. Il sait aussi qu'en aucun cas il ne doit jouir.

Son gland roule entre les doigts de Monika. Elle le presse entre le pouce et le majeur, l'ongle de l'index pénètre dans le méat. Samir ne ménage pas ses efforts, Félicie non plus. Monika, les yeux fermés, est au bord de la jouissance. Son corps entier est dans un état de relâchement total. Seule sa main droite s'active à t o r t u r e r ce sexe mâle. L'orgasme pointe. Il est temps. Il va falloir maintenant se préparer à recevoir ses nouveaux hôtes.

PREMIER JOUR

Dans la puissante vedette, Flo commence à se douter de la destination de ces mystérieuses vacances. Maxime, son amant, reste d'une incroyable discrétion à ce sujet et se contente de répéter :

  • Surprise, tu verras bien !

Mais il y a eu ce vol New-York - St Thomas, puis l'embarquement sur ce bateau, et surtout, l'attitude des autres passagers. Depuis une heure, Flo les regarde et n'a pu s'empêcher de remarquer certains détails révélateurs. Comme cette femme, assise en face d'elle, grosse et imposante, accompagnée de cet homme, vieux, maigre et à l'allure plutôt timide. Et cette autre femme, à l'avant du bateau, Flo a bien remarqué, quand elle a escaladé l'échelle vers sur le pont supérieur, qu'elle ne porte pas de culotte, sa chatte est épilée, et quand elle s'approche de son homme, elle baisse les yeux. Et cet autre couple de Noirs, assis derrière elle, lui n'a pas dit un mot depuis le départ, alors qu'elle ne cesse de l'injurier et de le traiter de tous les noms.

Et enfin, cette femme, jeune et très belle, accompagnée d'un homme qui pourrait être son père, et qui se tient si droite sur le banc, les mains dans le dos et qui semblait avoir des difficultés à marcher sur la passerelle, les jambes curieusement écartées... Tous ces gens ne sont pas là par hasard, se dit Flo. Nous sommes une vingtaine à bord, vers la même direction et le même but. Et soudain son esprit fait tilt ! Maxime lui avait parlé, il y a longtemps déjà, d'un endroit spécial destiné à la formation des Maîtres et des esclaves. Voilà, c'est là que nous allons ! Mais au fait, s'il est vrai que nous aimons les jeux SM, nous sommes alternativement soumis et dominateurs. Dans tous les couples que je vois ici, je distingue nettement qui domine l'autre. Cette fois, et au cours de ce séjour, lequel dominera et lequel se soumettra ? Se penchant vers Maxime, elle lui dit :

  • J'ai deviné où nous allons, qui sera soumis durant cette semaine ?
  • Bonne question, nous allons le savoir tout de suite.

Et, sortant une pièce de monnaie de sa poche, il demande :

  • Pile ou face ?
  • Face.
  • C'est pile. Tu as gagné. Tu seras soumise.
  • Mais ...
  • A genoux, à mes pieds, ne discute pas !

Flo sent ses joues s'empourprer. Elle hésite. Elle ne s'était pas préparée à ça. Mais que faire, à peine Maxime avait-il fermé la bouche qu'elle avait ressenti un léger picotement dans son bas-ventre. Son corps avait réagi plus vite que son esprit. Sans une parole supplémentaire, elle glisse du banc et vient poser ses genoux au sol. Dans un geste presque mécanique sa main droite passe sous sa jupe de coton et tire sur sa culotte qui glisse au bas de ses cuisses et longe ensuite ses jambes. Discrètement, Maxime récupère le morceau de tissu au niveau des chevilles et lui dit à l'oreille :

  • C'est bien, tu as vite compris. Assieds toi à coté de moi maintenant, sans bouger et garde les cuisses bien écartées.

En scrutant l'horizon, Flo s'aperçoit qu'ils arrivent bientôt près d'une terre. Pas trop tôt ! pense-t-elle. Je commençais à avoir mal au coeur.

.......................

Monika vient de jouir. Un de ces orgasmes qui la laisse relaxée, prête à reprendre son rôle de Directrice de centre SM. Elle saisit la cravache et frappe le dos de Samir en tirant d'un coup sec sur la laisse attachée à son cou.

  • C'est assez, maintenant ! Va me préparer ma douche, et toi, Félicie, sors mes vêtements.

Pendant que Samir se dirige à quatre pattes vers la salle de bains, la laisse entre les dents, Monika regarde Félicie occupée à rassembler dans le dressing les différentes affaires de sa Maîtresse. Elle a vraiment un beau corps, pense-t-elle. Jeune, ferme, élancé. Un visage angélique toujours emprunt d'une certaine tristesse. Félicie avait été embauchée par son mari comme employée de maison dans leur résidence New-Yorkaise.

Celui-ci n'avait pas tardé à coucher avec elle. Monika le savait. Quelques jours après la m o r t de Loulou, elle lui proposa de la suivre à Sombrera comme soubrette attitrée et soumise. Félicie avait acceptée, mais sa soumission était loin d'être parfaite et il fallut plus de deux ans de dressage pour en arriver au résultat d'aujourd'hui. La tenue vestimentaire de Félicie est pratiquement invariable. Elle est chaussée de fins escarpins à très hauts talons qui accentuent fortement la cambrure naturelle de son dos.

Comme seul vêtement, elle porte un petit tablier blanc en dentelle qui lui couvre à peine le sexe, épilé régulièrement à la cire chaude par les mains expertes de Samir. Ses seins, fermes et ronds, presque juvéniles, sont percés à leurs extrémités et ornés de deux anneaux en or reliés par une chaîne au milieu de laquelle une plaque gravée indique : "Félicie, soubrette et propriété de Monika". Ses fesses, musclées et lisses dessinent une courbe parfaite, bien qu'elles soient marquées aujourd'hui par de nombreuses zébrures, souvenir de la correction à la cravache reçue la veille au soir. Aux poignets et aux chevilles, des bracelets en cuir, munis de mousquetons ne la quittent jamais. Ainsi, en quelques secondes, elle peut être attachée ou immobilisée suivant l'humeur de sa Maîtresse. En complément de la punition infligée la veille, les bracelets sont attachés entre eux, l'obligeant à marcher à petits pas, en équilibre instable, juchée sur les 15 centimètres de talon. Comme elle sort très peu, sa peau ne subit pas les effets du soleil et a conservée une blancheur parfaite.

L'eau coule dans la douche. Samir a veillé qu'elle soit à la température idéale et attend sa Maîtresse dans la seule position qui lui soit permise : à quatre pattes. Monika se lève et passe sous le jet tiède. Pendant ce temps, Samir vérifie l'esclave "salle de bains". A l'image de celui qui faisait office de table, il est cagoulé. Les fermetures éclairs sont fermées, comme toujours lorsqu'il est en présence de sa Maîtresse et que son service ne nécessite pas l'usage de ses yeux. Depuis le début de la matinée, il se tient dans la salle de bains, debout, les bras tendus et attachés à un anneau fixé au plafond, les jambes écartées et maintenues par une barre horizontale. Sa seule utilité dans ce lieu est de faire office de porte-serviettes. Son sexe, tendu depuis le début du jour supporte une grande serviette pliée. Pour tout vêtement, il possède un collier avec une médaille sur laquelle est inscrit un numéro.

Cet esclave appartient au cheptel permanent de Monika. Ils sont une dizaine, tous volontaires et payant leur séjour. Elle les considère comme du mobilier. Ils peuvent rester le temps qu'ils souhaitent, pourvu qu'ils paient régulièrement leur pension.

Félicie pare sa Maîtresse des attributs indispensables à l'accueil des nouveaux stagiaires. Cuissardes, mini-jupe, corset avec soutien-gorge à balconnets, gants remontants jusqu'aux coudes, le tout en cuir ultra fin et ultra souple noir. Malgré la chaleur à l'extérieur, cette tenue est supportable, adaptée et conçue sur mesure pour elle. Félicie l'aide à passer ces différents éléments et s'applique à bien serrer le corset dans le dos, faisant ainsi d'autant ressortir la poitrine généreuse de sa Maîtresse. Vient ensuite la séance de maquillage et de coiffure. Avec des gestes appliqués, presque professionnels, elle allonge le regard de Monika pour le rendre plus féroce.

Elle souligne le contour des paupières, étale un fard vert qui fait ressortir le noir de ses iris. Un rouge à lèvre bien vif redessine la forme naturelle des lèvres en réduisant leur aspect charnel pour leur donner une allure plus serrée, plus sévère. Les cheveux sont délicatement tirés en arrière et comprimés dans un chignon. Monika se lève et vérifie dans le miroir le résultat et l'effet rendu. Elle ajuste sa mini-jupe de façon à ce que l'on sache qu'elle ne porte rien dessous, tout en dissimulant judicieusement le contenu de son entre-jambe, largement fourni en longs poils noirs frisés. Voilà, elle est prête. On frappe à la porte. C'est Alma, l'Adjudante.

  • La vedette est en vue, Madame.

  • Bien, Alma, j'arrive.

Après Monika, c'est Alma qui dirige tout dans la propriété, avec une main de fer. Particulièrement crainte par l'ensemble des esclaves, elle n'est pas avare des coups de cravache. Amie d'e n f a n c e et ancienne collègue de trottoir de Monika, elle est la seule ici à pouvoir l'appeler Madame, privilège réservé aux Maîtres et Maîtresses reconnus. "Allons-y !" dit Monika, joignant la parole au geste en prenant la cravache que lui présente avec humilité Félicie et en tirant sur la laisse de Samir qui trottine à quatre pattes derrière elle. Félicie ouvre la porte et se place au garde-à-vous pendant le passage du bien curieux couple. Un ascenseur les mène directement au niveau du ponton d'accostage de la vedette. Pendant les manoeuvres d'amarrage, Monika monte sur une estrade. Deux esclaves, dans la tenue que l'on connaît restent figés de chaque côté, comme des statues. Samir la suit et se blottit à ses pieds. Elle peut ainsi voir ses nouveaux arrivants. Lorsque le dernier passager a rejoint la terre ferme, Monika s'adresse à eux en ces termes :

  • Bienvenus à tous sur l'île magique de Sombrera. Je suis Monika Hodge, Maîtresse des lieux et des personnes vivantes ici. Vous connaissez mon règlement intérieur. Inutile de vous rappeler qu'aucune entorse à ce règlement ne sera tolérée. Maîtresses et Maîtres , un cocktail rafraîchissant vous attend sous la tonnelle. Vous prendrez ensuite possession de vos appartements. Esclaves, regroupez vous autour d'Alma, votre instructrice. Elle vous conduira vers vos quartiers et vous préparera pour ce soir. Alma, qui possède un oeil exercé, a déjà repéré son nouveau lot d'esclaves. Elle s'approche des hésitants et les pousse à se rassembler. Flo, un peu effrayée n'ose avancer, malgré l'insistance de Maxime qui lui dit d'y aller. Alma arrive alors à sa hauteur, l'extrémité de la cravache vient s'appliquer sur sa joue.

  • Alors, esclavette, tu n'as pas compris mon ordre ? Allez, avance et va rejoindre les autres, sinon je m'occuperai personnellement de ton cas tout à l'heure.

La menace est claire. A regret, et cependant avec un soupçon d'excitation, elle se décide à rejoindre le groupe des esclaves. Les autres Maîtres sont déjà en train de se diriger vers la tonnelle où un buffet accueillant les attend. Monika les précède. Samir suit. Des esclaves déchargent les bagages et les portent vers les bungalows. Pour la circonstance, les fermetures de leurs yeux ont été ouvertes.

Trop occupés à s'habituer à l'étrangeté des lieux, les dominateurs marchent en silence. Les discussions sont rares pour l'instant. C'est la période que Monika redoute le plus. Son rôle va être de détendre l'atmosphère. Cela est très important pour la qualité du stage. Elle devra faire preuve de diplomatie et d'esprit pour créer une bonne ambiance dans ce groupe formé de cinq Maîtres et cinq Maîtresses. Le buffet est magnifique, recouvert de fleurs fraîches, il déborde de boissons diverses et d'amuse-gueule. Deux esclaves se tiennent debout derrière la table, prêts à servir. Leur sexe a été emprisonné dans un étui pénien fortement serré. Mais ce n'est qu'en se penchant au dessus de la table pour se servir qu'on découvre alors un spectacle extraordinaire. Une femme nue est allongée sur toute la longueur. Son corps est recouvert de fleurs, mais les liens qui entravent ses jambes et ses mains tirées en arrière sont bien visibles, tout comme son visage, recouvert d'un masque opaque et renversé dans un trou aménagé dans la table.

Ses seins, assez imposants, sont rendus encore plus proéminents par des liens qui enserrent leur base et les font gonfler de façon admirable. Des amuse-gueule en brochette sur des échardes en bois très effilées sont plantés tout autour de ses aréoles et dans la chair tuméfiée. Il en est de même pour son sexe, dont les poils ont été remplacés par une grappe de bâtonnets porteurs de quelques friandises. Cette première exhibition tient ses promesses. Aussitôt la découverte faite, les langues se délient et les commentaires s'enchaînent rapidement. Monika passe parmi ses invités et leur adresse à chacun un mot de bienvenue. Plusieurs Maîtres s'extasient au sujet de Samir. Monika les renseigne et n'hésite pas à leur présenter de près les caractéristiques spéciales de son fidèle compagnon. Maxime est déjà dans un état d'excitation avancé. Il se doute que cela doit être aussi le cas des autres participants.

Au bout d'une heure, et quelques verres de cocktail bien dosés, il a fait connaissance avec eux. Allan, dentiste à Denver, 40 ans, Raymond, cadre commercial dans l'industrie chimique, 35 ans, Ted, architecte, 50 ans et Horst, seul européen, industriel à Munich, 42 ans, sont les représentants mâles de cet aréopage de dominateurs. Hellène, la grosse de 50 ans, Virginia, Noire, 27 ans, Pamela, jolie plante blonde de 33 ans, Lena, femme mûre et très autoritaire et enfin Angie, la plus belle, 30 ans, forment une intéressante brochette de dominatrices. Maxime ne regrette pas pour l'instant, ni le voyage ni le prix prohibitif de ce séjour très spécial. Monika prend la parole :

  • Maîtresses et Maîtres, je vous invite maintenant à vous rendre dans vos bungalows. Nous nous retrouverons à 19 heures dans le grand salon.

Maxime se sent soulagé par cette invitation. Il sait qu'à peine la porte fermée, il se masturbera en fantasmant sur le corps de cette esclave étendue sur la table.

Pendant que les Maîtres s'abreuvaient sous la tonnelle, le groupe d'esclaves était emmené sous la tutelle d'Alma vers le quartier qui leur est réservé. Arrivés dans une première pièce, Alma, en compagnie d'un esclave leur rappelle les règles de leur nouvelle condition :

  • Il vous est interdit de parler, interdit de vous masturber ou de jouir sans autorisation, interdit de montrer le moindre sentiment. Vous n'avez qu'un seul droit, c'est celui d'obéir. Maintenant, déshabillez-vous. Je veux vous voir complètement nus, sans le moindre accessoire. Ensuite vous passerez dans l'autre pièce pour la douche. Et au trot, celui ou celle qui montre la moindre mauvaise volonté sera durement puni par mes soins ou ceux de Maîtresse Monika.

Sans attendre, et sous la menace omniprésente du stick, les dix esclaves obtempèrent. Les vêtements tombent à terre, ramassés par l'esclave de service. Sur les cinq représentants mâles présents, quatre présentent des signes d'une érection mal dissimulée. Seul le plus vieux, compagnon de la grosse Hellène, laisse pendre son vieux sexe avachi dont les testicules lui arrivent pratiquement aux genoux. Alma en profite pour lancer sa cravache sur ces bites pointues, ce qui a pour effet de les tendre encore plus, sauf pour l'une d'entre elles qui perd instantanément sa fierté. Le groupe accompagne Alma dans la salle suivante, entièrement carrelée de blanc. Des pommes de douche sont accrochées au plafond. A l'entrée, chaque esclave reçoit un savon.

  • Allez, en place, tous au milieu de la pièce pour la douche ! Et savonnez-vous bien, ensuite vous passerez au contrôle hygiénique.

Sur ces paroles, Alma referme la porte et actionne le robinet d'alimentation d'eau. Aussitôt, des jets d'eau froide tombent sur les corps des esclaves qui n'ont pas d'autres moyens pour se réchauffer que de se savonner énergiquement. Flo, qui déteste les douches froides, apprécie malgré tout cette sensation bienfaitrice après l'épuisant voyage et la chaleur supportée toute la journée. Elle s'écarte un peu du groupe et en profite pour pisser discrètement, soulageant ainsi une vieille envie. Au bout de 10 minutes, la douche s'arrête. Une porte opposée à celle qu'ils avaient empruntée s'ouvre alors sur la silhouette menaçante d'Alma.

  • Toi, viens prendre les serviettes et distribue-les aux autres crottes de ton espèce ! Ensuite vous me suivrez à côté pour l'inspection... Et baisse les yeux quand je te parle !

Le jeune noir qui vient d'être interpellé se presse vers la porte pour prendre les serviettes. Au passage, Alma lui accorde un large coup de cravache sur les fesses. Tout en se séchant, le groupe progresse dans la salle voisine.

  • Rangez-vous contre le mur, maintenant, face à moi, au garde-à-vous.

Au centre la pièce se trouve une table du genre de celle qu'on trouve chez un gynéco, agrémentée de plusieurs dispositifs supplémentaires. Derrière, sont alignées cinq tables en bois, simples mais disposant de nombreux points d'ancrage pour y fixer des liens ou des menottes. Debout à coté de ces tables, quatre esclaves femelles se tiennent droites. Comme leurs homologues mâles, elles sont nues et cagoulées. Mais en plus du collier portant leur numéro, une chaîne munie de pinces relie la pointe de leurs seins.

S'adressant au premier esclave contre le mur, Alma lui ordonne d'avancer. "Tu t'appelles désormais esclave numéro 101", dit-elle en lui passant autour du cou une chaîne avec la plaque correspondante. "Installe-toi sur cette table, que je puisse t'ausculter". L'esclave 101 est un homme d'une trentaine d'années. Le corps mince et grand, l'allure assez distinguée, style cadre dans une multinationale. Il monte sur la table, s'allonge sur le dos. Les étriers accueillent ses pieds, ses bras pendent de chaque côté. Alma fait signe à l'une des esclaves cagoulée qui s'emploie immédiatement à attacher les chevilles et les poignets de l'esclave 101. Alma s'approche alors de ce corps écartelé. Le bout de sa cravache glisse sur le torse de l'homme et s'arrête au niveau du sexe. D'un geste brusque, elle tire sur les poils dont quelques spécimens lui restent entre les doigts.

  • Ici, les esclaves doivent être rasés. C'est normal, non ? Vous n'avez rien à cacher.

Puis elle décalotte le gland déjà fortement turgescent, approche son visage pour vérifier l'état de propreté, fait la moue, et le frappe durement d'un coup de cravache.

  • C'est dégueulasse là dedans, et ça pue ! Voyons voir ton trou de balle.

Manœuvrant un levier, les jambes se redressent, laissant se dévoiler la pastille brune de l'anus. Son index ganté caresse le périnée et prend position à l'entrée du trou. Le doigt se fraye un passage et s'enfonce de quelques centimètres. L'esclave pousse un petit cri, vite étouffé par un coup de cravache sur le ventre. Le doigt ressort. Alma le regarde. Elle semble à peu près satisfaite et le pose sur les lèvres du numéro 101.

  • Lèche le, maintenant, et bien, il doit encore servir aux suivants. Ensuite, tu iras sur la table derrière, qu'on te nettoie bien ta bite et qu'on la rase de près.

A peine détaché, l'esclave s'installe sur l'une des tables en bois où deux des femelles de service s'occupent de lui. "Au suivant !" crie Alma. La candidate suivante, qui se voit rebaptisée numéro 102 est la jeune femme que Flo avait repérée sur le bateau, assise bien droite avec les mains toujours dans le dos. Elle est assez belle, très mince, presque maigre, les cheveux blonds, des fesses légèrement tombantes et une poitrine assez plate. Son cul est marqué par de nombreuses stries, ses seins portent des anneaux et laissent encore apparaître des marques d'une récente ligature. Elle s'installe sur la table gynécologique et se retrouve immédiatement immobilisée par les bracelets. "Courts, mais cependant superflus !" s'écrie Alma en avisant son pubis et en ponctuant ses mots d'un coup de cravache bien placé. Se saisissant d'un spéculum, elle l'enfonce dans le con de la jeune femme et commence à tourner la vis d'écartement. Le sexe s'ouvre, large, face aux autres esclaves alignés. La dilatation est très grande. La numéro 102 gémit doucement.

  • Tais-toi ! je ne veux rien entendre pendant que je t'ausculte ! Je vois que tu as la chatte bien large. C'est à toi qu'appartiennent les godes trouvés dans les vêtements ? Tu as un Maître qui s'occupe bien de toi.

Flo se rappelle alors sa démarche bizarre lorsqu'elle était montée sur le bateau. Voilà l'explication !

  • Tu mouilles, chienne, ta chatte est gluante. Je présume que ton cul n'est pas mieux. Allez, passe derrière, qu'on s'occupe d'eux. Au suivant !

Pendant ce temps, tous les poils du numéro 101 sont tombés à terre. A quatre pattes maintenant, ses poils du cul prennent le même chemin. Le numéro 103 est le seul Noir de l'assistance. Taille moyenne, tête ingrate aux lèvres débordantes, cheveux crépus courts, il semble être presque blasé par ce parcours initiatique. Avec désinvolture, il monte sur la table. Son sexe bandant et circoncis s'affiche déjà fraîchement rasé. Alma ne perd pas son temps sur ce corps qui retourne rapidement se placer contre le mur. Sans doute un habitué, pense Flo, à moins qu'elle ne préfère se le garder pour plus tard... Soudain, presque en queue de la file, une femme se met à crier et trépigner par terre. Sans perdre un instant, Alma se jette sur elle, la cravache en main, aussitôt rejointe par deux esclaves mâles qui surgissent de nul part.

  • Emmenez-la au cachot, vite !

L'incident n'a duré que quelques secondes, et Alma retourne au centre de la pièce pour convoquer la suivante. Flo reconnaît la femme qui portera désormais le numéro 104. C'est celle qu'elle avait surprise sans culotte et le sexe rasé sur la vedette. Ces formes sont rondes à souhait, tout en douceur et aux galbes bien proportionnés. Elle a les fesses fermes et les mamelles pleines. Elle tremble un peu en montant sur la table. La crise d'hystérie de cette fille l'a un peu secouée. Ses jambes bien ouvertes sur l'assistance qu'elle ne peut voir ont pour effet d'empourprer son visage. Alma s'approche de la fente déjà lisse. Elle y plonge sa main et la ressort, tenant par la ficelle un tampon s a n g uinolent. Montrant le morceau de coton à l'assistance comme un trophée, elle s'exclame :

  • Pas de ça ici pour vous autres. Si vous avez vos règles pendant le stage, tant-pis pour vous. Certains seront sûrement excités par vos chattes putrides et saignantes.

Flo est la suivante. Numéro 105. Son ventre se noue quand Alma l'appelle. L'angoisse lui monte à la gorge. Un instant, elle voudrait fuir, mais elle se rend compte qu'elle n'a pas le choix et que finalement, tout ce qu'elle vient de voir l'excite vraiment. Seulement maintenant, c'est à elle d'y passer. Les bracelets se referment sur elle. Les jambes en l'air, écartées, fixées dans les étriers lui donne un sentiment d'impudeur extrême. Elle sent la présence d'Alma sans la voir. Ses seins pointent, ses tétons durcissent. Comme elle s'y attendait un peu, sa chatte poilue est gratifiée par la cravache. Ensuite, elle sent des doigts tirer sur ses chairs intimes, titiller le clitoris et pénétrer dans sa vulve sans ménagement. Cet attouchement calme un peu son angoisse.

Flo espérait en secret échapper à l'inspection anale. Malheureusement ses jambes sont soulevées par le mécanisme de la table. Elle sent ses fesses s'ouvrir comme un abricot et son anus prendre l'air. Un doigt pénètre. Flo se contracte. Un coup de cravache s'abat sur son ventre et la mouche vient claquer sur le téton droit, lui créant une vive, mais fugace douleur. Cependant, sa gorge a laissé échapper un petit cri. Aussitôt, la cravache s'abat à nouveau et cette fois, c'est le téton gauche qui déguste. Flo est impressionnée par la précision du geste. Ses jambes redescendent. Verdict :

  • Allez, sur la table en face pour une coupe au rasoir !

Flo est soulagée et se sent presque fière d'avoir subi cette épreuve. Elle regrette simplement que Maxime ne soit pas là pour voir ça. Mais le stage ne fait que commencer. Cette fois, allongée sur la table en bois, seules ses jambes sont attachées de part et d'autre. Aussitôt une esclave s'approche de son sexe avec un rasoir à la main. Avec dextérité et rapidité, tous les poils disparaissent. Pendant ce temps, c'est le petit vieux aux couilles pendantes qui passe l'examen. Alma ne semble pas vouloir s'appesantir longtemps sur son cas. Flo entend simplement la sentence d'Alma :

  • Celui-ci, quand on voit l'état de putréfaction de sa bite, on imagine que son cul doit être tout aussi pourri. Au lavement !

Et en effet, au moment où Flo se met en position pour la suppression des derniers poils dans sa raie postérieure, elle voit l'homme se placer dans la même position sur la table d'à côté. Une esclave apporte un grand flacon accroché à une potence et muni d'un long tuyau en caoutchouc terminé d'une canule. Cette dernière ne tarde pas à se trouver solidement enfoncée dans le malheureux derrière, maintenue par un large sparadrap. Mais Flo n'a pas le temps d'en voir plus. Son rasage terminé, elle est conduite dans une salle attenante.

Bien qu'elle n'a pas encore eu le temps de l'admirer, son nouveau sexe juvénile lui paraît frais et cuisant à la fois. "Voici ta chambre et ta paillasse," lui dit une esclave en lui indiquant la cinquième couche posée par terre. Flo s'avance pour rejoindre l'homme et les deux femmes qui l'ont précédés et qui attendent en silence. Elle s'assoit en tailleur sur son matelas. Dans cette position, elle peut enfin regarder à quoi ressemble son sexe maintenant. Malgré la dextérité de sa dépoileuse, sa grande lèvre droite souffre d'une assez longue coupure superficielle qui pique. Son regard quitte son bas-ventre et contemple le spectacle offert par ses congénères allongés près d'elle. Les paillasses étant étroites et pratiquement collées les unes aux autres, sa voisine immédiate n'est qu'à quelques centimètres d'elle. Ces cuisses se tiennent serrées, sans doute pour éviter toute dégoulinade de son vagin.

L'autre femme est adossée contre le mur. Ses jambes sont légèrement écartées. Son sexe lisse paraît petit malgré la forte capacité qu'on a vu à se dilater. Conséquence d'une réaction épidermique au fil du rasoir, la peau est très irritée, bien rouge. Mais ce qui surprend le plus Flo, c'est la vision du sexe mâle entièrement épilé. Même au repos, tel qu'il apparaît alors, Flo ne peut s'empêcher de le scruter. Il est vrai que c'est la première fois qu'elle en voit un dans cet état et de si près. Les replis des bourses, les couilles qui dévoilent leurs formes sous la peau fine, le pénis visible totalement jusqu'à sa base, tout cela intrigue Flo qui aimerait pouvoir y goûter un peu plus. Un nouvel arrivant passe devant elle et s'assoit sur le grabat qui lui a été indiqué, laissant libre celle située à droite de Flo. "Zut !" pense-t-elle, "je vais avoir droit au petit vieux à côté de moi. J'espère au moins qu'il ne pète pas toute la nuit."

Vers 19 heures, les Maîtres convergent à travers de luxuriants jardins vers le grand salon. La plupart ont revêtu un habit léger en coton. Seule la grosse Hellène a passé sa tenue de dominatrice : cuissardes à hauts talons, bustier qui projette ses grosses mamelles en avant, longue jupe largement échancrée devant et derrière, longs gants et chat à neuf queues dans la main. Ce spectacle a quelque chose de grotesque, car malgré les chairs comprimées, cela n'empêche pas quelques bourrelets de dépasser en s'engouffrant dans le moindre interstice de son ensemble en latex noir. Le grand salon est une vaste pièce. Des fauteuils et des petites tables occupent la plus grande la surface. Au fond, une grande table est déjà dressée pour le dîner. Porcelaines fines, argenterie et cristal.

En face, on devine une scène, cachée pour l'instant par un grand rideau rouge. Le mobilier est dans la couleur locale, en rotin et bambou. La pièce s'ouvre sur une grande terrasse qui surplombe le paysage et la mer. Au loin, on aperçoit les côtes de St Thomas. Un grand bar propose aux invités toutes sortes de boissons. Maxime se présente à l'entrée. Une femme nue est attachée debout dans l'embrasure de la porte. Ses mains sont tendues vers le haut, sa tête est plaquée contre le bois par un large bandeau qui passe sur son front et ses yeux. Mais le plus étonnant, c'est le plateau qui supporte plusieurs coupes de Champagne. Il est maintenu d'un côté contre le ventre de la suppliciée par une chaîne qui lui entoure le dos et à l'avant par deux chaînes qui s'accrochent aux anneaux de ses seins percés. Les seins étirés prennent la forme de deux grosses aubergines.

Maxime se sert une coupe. Libéré du poids du verre et de son contenu, le plateau remonte un peu. Maxime pénètre dans la salle et ne peut s'empêcher de pouffer de rire en voyant la grosse Hellène. Plusieurs Maîtres sont déjà là et discutent sur la terrasse. D'autres prennent place autour d'une table près de laquelle un esclave balance sans répits une grande feuille de palmier en guise de ventilateur. Régulièrement, un autre esclave passe parmi eux pour renouveler leurs consommations et leur proposer quelques canapés. Les conversations vont bon train. Vers vingt heures, Monika apparaît, Samir toujours en laisse à ses pieds. Pour l'occasion, elle est vêtue de bas résille quadrillés par de fins rubans en cuir. Des bottes qui montent au dessus du mollet et une tunique très sexy agrémentée de plusieurs rangées de clous. L'ensemble est d'un ravissant bleu marine. Elle salue l'assemblée et quelques instants après, un esclave vient se présenter à elle, tête baissée, et lui annonce à haute voix :

  • Maîtresse Monika, vous êtes servie.

Maxime quitte la terrasse presque à regret après avoir contemplé un merveilleux coucher de soleil en pensant à Flo, et à ce qu'elle devait certainement endurer pendant ce temps. Le grand salon est dans une demi-obscurité. Pour créer une ambiance intimiste, aucune lampe n'a été allumée. En revanche, de nombreuses bougies scintillent sous l'effet du léger souffle d'air qui rafraîchit l'atmosphère. Maxime jette un oeil vers la porte d'entrée. La "porte-plateau" n'y est plus, mais il croit la reconnaître quelques mètres plus loin, dans une autre position. Cette fois, elle est debout, maintenue par un étrange dispositif en fer forgé.

Ses jambes sont écartées et prises par une barre horizontale. Une barre verticale part du milieu et on la devine se terminer à l'intérieur de son vagin. Une autre barre verticale passe derrière son dos et se poursuit en Y jusqu'à ses mains qui s'y trouvent attachées très haut au dessus de sa tête. Chaque doigt, sauf les pouces, est muni d'une espèce de dé supportant chacun une bougie.

Trois autres esclaves femelles sont ainsi équipées et réparties aux quatre coins du salon. Bien sûr, leurs yeux sont obturés et pour agrémenter l'esthétique de ces chandeliers humains, toute une série de courtes chaînes chromées et brillantes sont accrochées à même leur peau par des pinces, de leurs poignets jusqu'à l'extrémité de leurs seins. Les convives passent à table, respectant les noms inscrits en face de chaque place. Maxime se retrouve en face de la grosse Hellène, qui, malgré la fraîcheur du soir, semble crever de chaud sous son attirail. Elle parle fort avec un langage grossier. Heureusement pour lui, la noire Virginia est assise à sa droite et la très belle Angie à sa gauche. Maxime fait des efforts désespérés pour combattre l'effet hypnotique du décolleté de sa belle voisine.

Des esclaves s'affairent autour de la table pour remplir les verres. Monika trône littéralement en bout de table. Samir somnole entre ses pieds. Tout en discutant avec Angie du problème des sans-abri à New-York, les yeux de Maxime font de perpétuels va-et-vient entre la poitrine alléchante de cette femme et le spectacle de l'esclave chandelier dont la cire des bougies commence à dégouliner sur ses doigts, ses mains et ses avant-bras. Nul doute qu'à ce moment là, Maxime fait l'amalgame entre ces deux visions et qu'il s'imaginerait bien en train de m a l t r a i t e r ces nichons à l'aide des bougies. L'entrée est servie. Une délicieuse salade de langoustes tièdes. Monika mène la discussion en racontant l'histoire de ce centre de formation et ses principes concernant le SM.

Tout le monde s'accorde sur le fait que le SM est un art difficile, demandant une bonne expérience et une pratique régulière pour atteindre son but. Ce qui justifie totalement l'existence de ce centre dont l'objet est d'enseigner les méthodes qui fournissent le maximum de plaisir, sans risque et grâce à la connaissance parfaite de la limite au delà de laquelle la douleur passe du plaisir à la souffrance. Les esclaves s'activent à nouveau autour de la table. Le plat de résistance arrive. Mais au moment où l'esclave passe l'assiette de noix de St Jacques à l'aneth sur parmentier de christofines au-dessus de l'épaule de la grosse Hellène, celle-ci, toujours véhémente, donne un coup dans l'assiette qui tombe à terre en aspergeant l'immaculé latex.

Au bruit de la vaisselle cassée, Monika se lève d'un bon. Plusieurs esclaves sont déjà en train de ramasser les morceaux et d'éponger les dégâts, sans savoir vraiment s'ils récupèrent du jus de St Jacques ou de l'huile de baleine (pardon, d'Hellène).

  • Bien que cela ne soit pas prévu au programme ce soir, dit Monika, je vais vous donner une première leçon sur la manière de dresser un esclave à bien servir à table. Manifestement, celui-là n'a pas assimilé les chapitres précédents.

En quelques pas, elle est sur lui, la laisse de Samir dans sa main gauche et la cravache dans la droite.

  • Quel est ton numéro, shit of peacock (chiure de paon) ?

La question est accompagnée d'un v i o l ent coup de cravache sur les fesses en signe d'encouragement.

  • Numéro 13, Maîtresse Monika, marmonne l'esclave sous la cagoule fermée.

  • On peut dire qu'il ne te porte pas chance. Samir, retire lui son étui pénien.

La queue de l'esclave apparaît en état de semi-érection. Monika ferme les fentes oculaires de sa cagoule, se dirige vers le mur et appuie sur un bouton dissimulé derrière une tenture. Au plafond, un moteur électrique ronronne, tandis qu'un ensemble de chaînes, liens et bracelets descend lentement.

  • Samir, occupe toi de lui maintenant, installe le confortablement dans le panier.

Le panier, c'est le dispositif accroché au plafond et qui vient de s'arrêter à quelques centimètres du sol. Il est formé de cinq câbles au bout desquels sont fixées des courroies en cuir. Quatre sont destinées à immobiliser chaque membre et celui du milieu doit soutenir le ventre. Monika est retournée à sa place. Ce type de besogne n'est pas de son ressort. Samir pousse le numéro 13 vers le centre du quadrilatère formé par les câbles et le f o r c e à s'allonger sur le ventre. Les courroies sont serrées autour de ses poignets, de ses chevilles et enfin autour de son abdomen. Samir rejoint le mur et actionne le bouton en sens inverse. Les câbles se tendent. Leur longueur est calculée de façon à ce que la tension exercée par le poids du supplicié soit répartie entre ses membres et son ventre. Une fois en l'air, le corps écartelé n'est pas à l'horizontal, mais penché légèrement du côté de la tête.

Quand le numéro 13 est à un mètre du sol, Samir arrête le mécanisme et retourne vers lui. Il passe un lien dans l'anneau qui se trouve au sommet de la cagoule et f o r c e la tête à se renverser en arrière. Ensuite, avisant une boîte accrochée à l'un des câbles, il en sort 5 pinces munies de poids qu'il place: une sur chaque téton, une sur le prépuce et deux sur le scrotum. Enfin, il retourne mettre en marche la mécanique jusqu'à ce que l'esclave atteigne l'altitude de trois mètres environ. Alors seulement il retourne aux pieds de sa Maîtresse. Pendant toute l'opération, les bruits de couverts sur la porcelaine et les tintements de cristal ont été rares. Toute l'assemblée préférait regarder ces préparatifs plutôt que le succulent contenu de leur assiette. Seule, Monika, avec son coup de fourchette tout aussi légendaire que son coup de cravache, a fini de se restaurer quand la bite, les couilles et les seins du numéro 13 commencent à se balancer au-dessus de sa tête.

La lueur des chandelles qui se reflète par endroit sur le corps suant du numéro 13 amplifie l'aspect fantasmagorique du décor et de ce spectacle aérien improvisé. Le dîner reprend son cours, les discussions s'animent de nouveau. Lorsque tous les convives ont terminé, Monika se lève et prend la parole.

  • Mesdames, Messieurs, avant de passer au dessert, permettez-moi de vous présenter les personnes qui animeront le stage avec moi.

Et, tandis qu'apparaissent sur le devant de la scène deux jeunes et belles femmes, Monika poursuit :

  • Voici Alma et son assistante Sibylle, mes deux dévouées instructrices qui vous feront partager un peu de leur grande expérience en matière de domination.

Toute l'assemblée se tourne vers elles et les applaudit vigoureusement.

  • Et dès maintenant, elles vont vous offrir une petite surprise ...

A suivre ICI

La suite de ce roman délicieux devient un peu hard, vous êtes prévenu

Des jeux pour tous avec du BDSM pour soumis et soumises, de l'ABDL, de la fessée et des scénarios ou tutos de selfbondage.

ICI il y a 365 idées de jeux, une par jour avec mixité des fétichismes

ICI il y a 150 scénarios ou tuto de selfbondage utilisables aussi pour jouer

ICI il y a près de 1000 idées de jeux

ICI il y a 80 galeries de X photos avec des idées de jeux et de domination

VOIR AUSSI LES JEUX DE SOCIETE COQUINS ET FETICHISTES ICI

Et si cela ne suffit pas, vous pouvez aussi visiter les 27 forums à thème !

Il y a des mises à jours régulières dans chaque rubrique, repassez nous voir pour avoir les nouveautés.

Lire la suite : Les Aventures de Flo & Maxime 2 ROMAN
Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement